La moto a ses icônes. Il y a bien évidement les pilotes prestigieux, les écuries. Mais il y a aussi ceux qui nous font vivre notre passion à travers leurs écrits ou leurs vidéos. Oui, je parle bien des journalistes moto. C’est comme ça que nous avons connu Laurent Cochet.
Et c’est à travers ses vidéos barrées que nous continuons à le suivre.

Et il était au salon de la moto, avec son désormais fameux vidéomaton. On avait envie de faire une petite vidéo pour dire que la Poirsouille Endurance Team c’est trop bien. On avait plein de temps dans le train, donc on a réfléchi au script. Oui, car quand on veut faire une vidéo bien, il faut faire un script !

Arrivés sur place, il était tôt. Tellement tôt que les gentils gens de SW Motech ont dû lancer la machine pour nous. Et vu qu’ils sont au top, ils nous ont même offert un café. L’accueil était vraiment royal sur ce stand (le soir aussi, avec Cigalou et l’Aventurier Viking, ainsi qu’avec le fût de bière).

Bref, on y était, on s’est lancé et on a tout donné. Et ça donne ça !

Puis plus tard, on a vu Lolo. On a toujours du mal à approcher les gens connus. Pas envie de faire la groupie qui “adooooooore ce que vous faites” et qui est “troooooop faaaaaaan”. On trouve ça dur de passer un message qui ne semble pas être de la lèche.

On a donc hésité à aller le voir et lui dire qu’on adore ce qu’il fait. Puis on nous a dit que Lolo était un mec normal et qu’il appréciait les compliments. Donc on a pris notre courage à quatre mains (ben oui, on est deux) et on est allé discuter avec lui.

Et là, on doit vous révéler un truc: Lolo est un être humain comme les autres. Enfin, même mieux que pas mal de nos congénères: il est gentil. Et vu qu’il n’y avait personne sur le stand, on a pu discuter un peu avec lui, de ses vidéos, de notre projet, et faire quelques photos.

 

Et en plus, il a la même approche que nous concernant la piste. Il s’est lancé tard sur circuit parce que pour lui, avant, il y avait d’un côté les pilotes et de l’autre les spectateurs et que lui était spectateur. Et vers 40 ans, il a compris que la piste, c’était pour tous les motards. Et ça tombe bien, on est complètement d’accord avec lui. N’importe quel motard a sa place sur circuit, même si vous n’avez pas la dernière sportive à la mode, et même (surtout?) si vous êtes un poireau.

Donc les gens, si vous ne l’êtes pas encore, abonnez vous à sa chaîne, regardez ses vidéos et dites lui si vous aimez. Lolo est comme nous, il aime faire plaisir avec sa passion et son (énorme) boulot.

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